Un tunnel de fontaines lumineuses sur le Pâquier pour vos balades nocturnes.

L’Île des Cygnes se transforme en maison colorée dans le lac d’Annecy.

Bob Verschueren propose une installation composée de 10 arbres assemblés deux à deux, plantés dans la terre, racines en l’air. Ils forment ensemble une haie enjambant une allée des Jardins de l’Europe. L’artiste transforme les arbres morts des forêts d’Annecy en œuvre d’art hommage au public qui est invité à traverser l’installation.

Un coquillage métallique géant apparaît dans les Jardins de l’Europe. Contrastant au premier regard avec la nature verdoyante, cette sculpture reflète notre monde moderne. En y pénétrant, on ressent les battements de cœur de Mère Nature. Un instant pour prendre le pouls du monde…

Mêlant design contemporain et matériaux traditionnels, Wicker (osier en anglais) Pavilion offre un lieu de détente et de méditation au cœur des Jardins de l’Europe. L’œuvre s’intègre dans le paysage naturel et offre un espace ombragé sous lequel il fait bon s’installer pour retrouver un peu de fraîcheur. Un véritable havre de paix.

Une embarcation est arrimée sur les eaux claires du Thiou, devant ce qui était la prison, devenu aujourd’hui le Palais de l’Île. Trois jeunes ginkgos biloba sont érigés sur le pont, image inattendue et poétique. Si Bob Verschueren laisse le promeneur libre de toute interprétation, son œuvre nous invite à rêver à d’autres horizons.

Un potager en pleine ville qui pousse avec le composte des voisins !

Le ciel s’agite, une tempête éclate, des arbres essouchés laissent un vide dans le paysage. De cette disparition naît une sculpture délimitée par le contour de troncs d’arbres évidés. En synergie avec les éléments de la nature, dans les eaux du canal Notre-Dame, les sculptures intègrent naturellement le paysage et le transforment pour effleurer le regard.

Un jardin traditionnel revisité au Square de l’Évêché.

Babel 50 Annecy est un totem photographique aux dimensions monumentales dressé au cœur du Forum de Bonlieu. Jean-François Rauzier réinterprète la ville et nous propose trois visions d’Annecy à travers les époques et les styles architecturaux. Créateur d’univers oniriques, il nous embarque dans un voyage de redécouverte de l’espace urbain, sous le prisme d’un kaléidoscope architectural captivant. Annecy, comme vous ne l’avez jamais vue !

Généralement utilisé comme objet de contemplation, le paysage devient, avec Cercle évaporé, matière à expérimentation. À travers une balade urbaine, les promeneurs participent à l’œuvre en contemplant l’effet d’anamorphose. Le patrimoine naturel paysager annécien est re-dévoilé par une conception poétique à la frontière du mobilier urbain et de l’œuvre d’art.

Une serre tropicale apparaît sur la façade en béton de Bonlieu. Orane Sigal confronte austérité et gaieté avec cette fresque colorée monumentale, et prouve que la main de l’homme peut parfois sublimer la nature. Un éclat dans la ville !

Entre nature et technologie, l’œuvre Brèches mécaniques de Luce Moreau est un nid artificiel, imprimé en 3D avec de la cire. Déposé dans un arbre au sein du parc du Haras, il offre un nouvel habitat pour abeilles, en attente de ses futurs résidents !

Face au lac d’Annecy, la pièce de Quentin Scandela vise à sensibiliser les passants au dérèglement climatique. Mettant en relation des données scientifiques et les montagnes que le visiteur est en train d’admirer, il nous rappelle que celles-ci ne sont pas forcément éternelles.  Une installation qui réveille nos consciences écologiques.

Six sphères gonflables et flottantes de 4,5 mètres de diamètre sont disposées le long de la promenade d’Albigny et ouvrent le regard sur la grande perspective du lac. Saturées de couleur, elles proposent une nouvelle ponctuation d’un des paysages les plus emblématiques de la ville.

Les fruits et légumes arrivés à maturité sont en libre service ! Et point d’orgue de l’expérience : une table de dégustation propice aux échanges et aux moments de partage.

Les balançoires géantes de Pierre Laurent et Nicolas Grun font leur apparition au Parc Charles Bosson. Une installation artistique et ludique, pour réenchanter l’espace public. Attention à ne pas rester la tête dans les nuages.

Semblant flotter sur le lac d’Annecy, Walden Raft est une expérience dynamique et contemplative qui offre un espace de réflexion en référence à Walden de Henry David Thoreau, roman du retour à la nature et de la conscience environnementale. Archétype de la petite cabane rustique posée sur le lac, elle est à la fois une incitation à relire le paysage, autant qu’un objet support à la projection des utopies de chacun.

Entourant les bâtiments de l’ESAAA, le Parc des Marquisats est l’un des terrains où s’inventent et convergent de nouvelles formes : un projet de tiers-lieu y voit le jour depuis un an et resserre les liens entre les différents acteurs sur place. Imaginé comme un lieu de collaboration le projet a pour objectif de devenir un pôle de ressources créatives et de manifestations emblématiques pour la jeunesse, dans les domaines de l’art et du design.

Lors d’une visite Gilles Bruni avait remarqué la présence de galets dans le chemin rural à côté, un galet est un être-pierre qui vit le flux de l’eau. Ces galets sont pour lui comme les acteurs et les usagers de Chosal, de passage. Ceux-ci marquent d’une façon ou d’une autre la vie de la ferme. Chosal est le fruit d’une multitude de présences, elle lui donne son identité.